dimanche, 10 juin 2007

Ligth on my fire...

Retour sur une petite photo du précédent billet :



Regardez bien dans la foule de spectateur, tous les petits points de lumière. Savez-vous de quoi il s'agit?
Non ce n'est pas une nouvelle invention de scénographe pour faire un effet. Tout simplement, il s'agit de millier de téléphone portable, en train de filmer et de prendre des photos...
C'est marrant, sur une chanson comme "love me, please love me", à une époque pas si lointaine, c'est plutôt des briquets qui s'allumaient en se balançant langoureusement...

Sur ce, faut que j'y aille. Manquerais plus que je rate mon avion !

On ira tous au paradis…

Y' a des jours comme cela, où tout commence mal et où finalement tout finit pour le mieux. Ce matin, boulot à 7 h 30. Au radar, autant le dire tout de suite, j'étais en mode pilotage automatique. Je serais resté au lit, que finalement, j'aurais apprécié ! Bon à midi, c'était fini. Une petite course à Paris, qui aurait dû être rapide. Allez savoir pourquoi, c'était bouché de partout. Ah oui, c'est Paris peut-être. Mais zut à la fin, les gens sont censé être en week-end loin d'ici ! Bref, bouchon, voiture en double file sous l'immunité totale de leur warning, conducteurs indécis, je vais à gauche ou à droite, gauche, à non à droite, à tiens j'ai oublié le clignotant, et je ne vous raconte pas tout… Tout cela pour arriver à une adresse qui a le mauvais goût de se trouver dans un endroit où la chasse à la place de stationnement est ouverte en permanence. Bon, j'y suis. Ah ben si quelqu'un peut m'expliquer pourquoi c'est un gynécologue qui se trouve à la place de la boite de déménagement que je suis censé y trouver ! Non ? Personne ? Bon, alors je rentre chez moi… Mais avant, petits détours vers la Fnac pour me racheter un appareil photo qui me fait défaut depuis une semaine ! Un beau petit IXUS 850. Vous l'aurez compris, avec tout cela, et le compte en banque un peu allégé, il est 15 heures et je n'ai toujours pas mangé depuis 7 heures ce matin. Un jambon beurre cornichon feras l'affaire et la fatigue faisant son effet, big sieste avant les réjouissances du soir…

Autant le dire tout de suite, au départ, j'avais commencé par dire que je n'irais pas le voir sur scène, s’il ne revoyait pas ses prétentions sur le prix des places. Faut avouer qu'il y a un peu d'arnaques sur le prix de certains concerts. Donc chose dite, chose faite… sur la première fournée. Mais le bougre a su titiller mes neurones. Critique unanime, ou presque, dans les journaux, copains qui n'ont pas eu mon appréhension et qui vous énervent en vous racontant le bon moment qu'ils ont passé, et au final rajout de date supplémentaire en juin ! Bon, une bonne excuse trouvée, le cadeau d'anniversaire du frangin. Et alors, dans ma grande bonté, je n'allais quand même pas le laisser y aller tout seul !
Vous avez trouvé ? Ce soir, j'ai été voir Polnareff à Bercy ! Et c'était super ! Rien à redire, ni à regretter. Il a encore sa voix, et ses chansons sont toujours aussi belles. Nostalgie quand tu nous tiens ! Il faut bien le dire, j'ai été élevé là-dedans depuis le biberon, par une fratrie qui avait décidé de faire mon éducation musicale et qui distillait à mes tendres oreilles, les Polnareff et autre Pink Floyd, Deep Purple, Ange, j'en passe et des meilleurs de l'époque des 70'…
En plus, c'était une bonne raison pour essayer mon achat du jour…











Il assure bien le petit IXUS 850! Vous ne trouvez pas?

Sur ce, je vous dis à je ne sais pas quand. Je pars demain bosser 5 jours à Girone en Espagne...