...Dans le même ordre d'idée, je vous remercie de trouver une définition (drôle et pertinente si possible et bien sûr totalement inventée) au mot suivant : véhémence ! Blogueurs à vos souris!Cette question, d'une élémentaire limpidité, et qui fut, en son temps, débattus entre les plus grands spécialistes et Maître Capelovici, trouve sa réponse dans la mythologie crypto Micronésienne. Et plus particulièrement, mais je suis sur que vous ne l'ignorez pas, de leur déesse de la Vérité, la grande Véhé, qui comme chacun le sait, fut punie du châtiment de ne jamais pouvoir mentir, pour avoir révélé les secrets de sa filiation, à savoir qu'elle était la fille de son petit frère et de sa grand-mère paternelle (ben oui, chez les Dieux, il s'en passe des choses….)
Cruel châtiment s’il en est, surtout pour une fille (Aie pas sur tête…) La voici donc obligée, quand l'occasion faisant le larron se présente, de mentir en disant la vérité. Ce qui, vous l'avouerez aisément, provoquait un certain nombre de dérèglements neuronaux dans son jeune cerveau de Déesse. Dérèglements qui entraînaient immanquablement un haussement de ton et un aplomb digne des chutes du Niagara dans ce qu'elle affirmait, et qui ne souffrait d'aucune contestation d'où qu'elle vienne ! Mais qui l'amenait aussi à un état proche de la transe et de la démence. D'où l'accolement à son nom de la syllabe "mence" pour décrire cet état de fait. Il faut dire que mentir tous en disant la vérité sur un mensonge qui n'en est pas un, par le simple fait que l'on ne peut pas en dire à de quoi dérouter plus d'un schizophrène…
Il va de soi, que tout ceci n'est que pure vérité, et que toute autre affirmation ne serait que pur et simple négationnisme.
Voila, si j'ai pu rendre un immense service a la compréhension de la vérité de notre culture linguistique, vous m'en voyez ravi.
Et je remets 100 balles dans le lourrin…
