Dans l’ombre des murs
Se cachent les pleurs
D’une vieille masure
Qui trop tôt se meurt
À l’ombre du mur
Se cache mon cœur
Qui rendu trop dur
À l’ombre de ces peurs
À l’ombre du mur
Se cache le moteur
D’un amour trop mûr
Pour qu’il ne demeure
À l’ombre du mur
Coulent mes pleurs
Tu cours dans l’azur
Et moi je demeure
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Ce petit poème à été ressortis pour les impromptus de la semaine...
2 réactions
1 De Louisianne - 09/05/2010, 00:44
Tu me fais presque pleurer ! Je t'offrirai bien une bière pour te consoler ! Joli poème !
''Se cache Tu l'écris bien à la deuxième strophe pourtant !
Je sais je suis une emm...''
2 De Gilsoub - 10/05/2010, 22:46
@Louisianne: mais heuuuuuuuu! faut pas pleurer...