mardi, 2 novembre 2010

Vous me fîtes bander…

Madame, au risque de l’offense, je dois vous avouer que vous me fîtes bander

Sont-ce de vos cheveux,
La rousseur flamboyante
Et de vos yeux, la verdeur de l’amande

De votre poitrine l’élégante arrogance
Ou la tendre courbure d’un callipyge fessier,
Dont l’exquise pureté, frôlait l’œuvre d’art

De vous voir ainsi, mon sang ne fit qu’un tour,
S’arrêtant, embarrassant tracas
Dans un lieu précis de mon anatomie.

Le grand et arrogant bellâtre accroché à vos basques,
Plus Sûrement qu’une culotte sur une nonne proposante
Mit fin à tout espoir de régler à deux mon tourment du moment

C’est avec regret que je dû derechef
De ma main vengeresse, calmer ces promptes ardeurs,
Rêvant que de votre bouche pulpeuse, un simple pompier calme mes chaleurs

Vous souffrirez Madame, qu’en de rares solitaires soirées
Plus qu’une autre passante, mon esprit affamé en appelle à vous,
Gourgandine éphémère de mes rêves délétères


Madame, au risque de l’offense, je dois vous avouer que vous me ferez bander

De retour…

Oyé, oyé, braves gens, me voici rentré et fort de 1278 photos à trier ! faudrais que je me calme ! C’était super, beau temps, frais, mais beau. Des bons copains, une maison toujours aussi accueillante et des couchers de soleil tout les soirs… qui m’accompagne la prochaine fois ?

Jullouville - Octobre 2010

Coucher de soleil