Quand j’étais petit, le signe pour moi que l’on arrivait bientôt, que l’on était bien en Suisse, juste après le Val de Travers et le Creu du Van, entre deux montagnes, le lac de Neuchâtel apparait brusquement à mes yeux de gamin. Et à chaque fois que je viens, je retrouve cette sensation… Ne me demandez pas pourquoi, c’est comme ça, juste la puissance des souvenirs…
Et pis après six heures de route, qu’il est bon de s’installer juste en face du lac…
PS : À vi, si quelqu’un veut faire sauter le dépôt du casto local qui me pourris la vue, je lui offre une plaque de chocolat et une fondue Neuchateloise maison…