Dans l’ombre des murs
Se cachent les pleurs
D’une vieille masure
Qui trop tôt se meurt
À l’ombre du mur
Se cache mon cœur
Qui rendu trop dur
À l’ombre de ces peurs
À l’ombre du mur
Se cache le moteur
D’un amour trop mûr
Pour qu’il ne demeure
À l’ombre du mur
Coulent mes pleurs
Tu cours dans l’azur
Et moi je demeure
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Ce petit poème à été ressortis pour les impromptus de la semaine...