samedi, 3 février 2007

Deauville, ville morte...

Dure semaine, que celle qui vient de finir… d'ailleurs la prochaine devrait être de la même eau… Peu de sommeil et beaucoup de boulot, c'est souvent le lot des fainéants d'intermittent du spectacle dont je fais partie. Des journées de 15 heures déclarées 8, souvent regroupé en quelques jours. Si toutes les heures effectivement faites étaient déclarées, le fameux cota de 512 heures ne serait pas difficile à atteindre pour la majorité d'entre nous. Notez bien que je ne me plains pas, ce métier je l'ai choisi, je l'aime et j'assume mon choix. Mais bon, aujourd'hui, c'est mode radar après une nuit de sommeil réparateur toute relative dont le but est d'essayer de me refaire une santé avant de replonger dans le taf demain matin…

Durant cette semaine, deux jours à Deauville. Vous n'aurez pas de vue de la chambre de ma fenêtre. Je n'y étais qu'à la nuit tombé, arrivé tard le soir, repartis tôt le matin, et aucun éclairage pour vous montrer la cour glauque sur laquelle la chambre donnait. Dommage, parce que de l'autre côté j'aurais pu voir le port et les lumières de la ville...
La particularité de Deauville l'hiver, est d'êtres une ville à peu près morte. La moitié des restaus, bar et autres, sont fermés, attendant les beaux jours. L'avantage, c'est que l'on n’y voit pas non plus la horde de touristes beauf et nantis si particuliers à ce patelin et qui rendent toute villégiature assez insupportable de bêtise (pour rester polis) en pleine saison !
Il reste la plage vide qui en profite pour se refaire une beauté...


Plage de Deauville - Janvier 2007